BRINKLEY, R. • Hope it gives you hell.

Toute histoire commence quelque part...

« ... la mienne commence un beau matin du mois d'avril, le 29 plus précisément. L'écrivain renommé Jack Brinkley, mon père, est assis au chevet d'un petit incubateur, le regard vide; on voyait qu'il avait pleuré - le pauvre homme, c'est surement la seule fois qu'il a pleuré de sa vie. Ce matin la, Jack, qu'on surnommait le maître de l'horreur pour ses comptes mabacbres et sombres, vivait lui même une vrai scène d'horreur. Devant lui se tenait un nouveau-né, sa propre fille, moi, dormant paisiblement. Vous vous demandez ou est le problème dans cette image parfaite? Il était supposé y avoir deux petites filles. Celle qui devait être ma soeur jumelle venait de perdre la vie moins de deux jours après notre naissance, me laissant seule avec des parents pleurant un enfant qu'ils n'ont même pas eu la chance de tenir dans leurs bras, et un frère qui me traiterait comme une princesse pour le restant de mes jours.

Les premières années de ma petite vie se passa sans heurts, à quelques exceptions près. Papa écrivant tout ses romans à la maison et Maman n'ayant nullement besoin d'un emploi, ils étaient très présents pour moi et n'eurent même pas besoin d'engager de nannie, en plus de profiter de l'aide que pouvait offrir Declan, mon super héros - on pourrait dire que c'est mon grand frère, mais encore plus qu'il est mon frère, Declan est mon superman à moi. Le plus fantastique est que Papa pouvait être dans une période d'inspiration débordante, il aurait tout laissé de coté pour aller subvenir à mes besoins, même les plus capricieux de mes caprices d'enfant. Il m'appelait son petit chouchou, et le chouchou grandissait tranquilement et lui demandait beaucoup d'attention à ce cher Papa, mais il réussit tout de même a publier quatre romans avant que je n'ateigne l'âge de 6 ans. C'est dans cette période qu'on commença à s'apperçevoir de mes champs d'intérêts peu communs, et c'était en partie les choses que mon père aimait, soit les films à suspense et jouer avec du papier et des crayons. »

Une petite fille pas comme les autres...

L'enfance de Rosemary fut en grosse partie heureuse, comme celle de n'importe quel enfant. Elle fréquentait une école privée de Nashville, ou elle y étudia en compagnie de son frère qui était toujours la pour la protéger et ou elle cotoyait beaucoup d'autres enfants de parents fortunés, d'acteurs et de magnats dans différents domaines. Assez grande pour comprendre les choses de la vie, Rosemary devenait une petite fille ouverte au monde extérieur, et son père était très fier d'elle. Cette dernière, malgré toutes les questions de ses professeurs et psychologues scolaires, leur fit rapidement comprendre qu'elle ne voulait pas parler de ce qu'elle ressentait sur sa vie. D'ailleurs, le corps professoral de son école s'entêtaient a penser que le fait d'avoir un père qui pouvait pondre des idées aussi tordues et macabre devait rendre la petite Rosemary troublée et perdue. Loin de la. Rosie était vive d'esprit, et elle même commençait déja, à l'âge de 8 ans, à écrire des petits textes sur tout ce qui lui passait par la tête. Rien de bien intéressant, mais tout de même.

Même si elle était la fille de Jack Brinkley, la jeune Rosemary passa des années tout a fait ordinaires dans les premières années de son adolescence. Elle excellait en anglais et en français, et personne ne se demandait pourquoi elle avait des notes exemplaires dans ses compositions écrites. Tout ses enseigants disaient qu'elle avait hérité du don de son père - le don de l'imagination. À 12 ans, Rosemary finit son premier livre. L'histoire de deux jumelles qui se perdaient de vue à la naissance, et qui se retrouvaient dans ce mystérieuses circonstances après la mort de leurs parents respectifs. Le plus étrange dans cette histoire est que Mr. et Mrs. Brinkley n'avaient jamais révélés à leur petite fille qu'elle avait une soeur jumelle à la naissance. Malgré tout, ils continuèrent à taire la chose. Pendant ce temps, la jeune fille fut très heureuse lorsque son père demanda a son éditeur de publier le roman, et que ce dernier accepta. Ce fut une des plus grosses histoires de l'année. On la voyait dans toutes les revues, avec des titres comme ' la jeune Brinkley sur les traces de son père' et autres dans ce genre. Rosemary ne comprenait pas tellement pourquoi on faisait toute cette agitation autour d'elle, et suivi l'exemple que son père avait toujours suivi, celle de ne pas accorder d'entrevue. La seule et unique qu'elle fit fut à Oprah, et c'est parce qu'elle était une fan de l'émission depuis son plus jeune âge. Pour le reste, l'adolescence de Rosemary se passa comme toutes les autres, puisque ce genre d'attention médiatique était chose courante à son école. Elle sortait, passait de temps avec ses amies et rencontrait des garçons. Elle avait toujours son frère près d'elle, qui la protégait et qui faisait attention à ce qu'elle ne s'enfonce pas dans un gouffre quelconque.

Le changement amène l'inspiration...

« Je n'ai aucune envie d'aller habiter chez tante Jane. »
« Ma chérie, je suis sure que tu va t'y plaire. Et New York, c'est plein de boutiques! »
« Papa! Je déteste magasiner! Maman! Dis quelque chose pour lui faire changer d'idée! »
« Mon poussin, Declan sera avec toi. Tu ne sera pas trop dépaysée. »

Lorsqu'elle fut à l'aube de ses 16 ans, les parents de la jeune Rosemary lui annoncèrent qu'elle continurait ses études à New York, dans un réputé conservatoire d'arts - du même coup, elle allait habiter avec son frère et sa tante un peu cinglée qui travaille dans le domaine de la photographie. Rosemary en avait beaucoup entendu parler par sa famille, mais jamais elle n'avait vraimant pensé à y continuer ses études puisque c'était très loin de la maison pour une jeune adolescente comme elle. Cependant, ses parents étaient clairs, elle allait y passer, comme tout les Brinkley depuis trois générations. Même s'ils lui donnèrent le choix de ses matières, Rosemary fut longtemps en rogne contre eux; ils n'avaient pas le droit de décider de sa vie ainsi. Cependant, à la fin de sa première année, Rose du s'avouer que cette école était faite pour elle.

Avant ses 19 ans, Rosemary publia trois autres livres, tout a fait différents du premier. Ses histoires s'étaient retournées a être aussi cruelles et fantastiques que celles de son père. Jack, très fière d'elle, s'était trouvé une féroce concurente en sa fille. Et pour la féliciter de tout ses efforts, il décida de lui acheter une belle voiture neuve de son choix et de lui payer entièrement ses études universitaires à Yale. Ce fut pour elle une grande récompense, et un grand pas dans sa quête de l'indépendance. Cette année la, elle eut aussi une mauvaise surprise. Par hasard, à Thanksgiving, elle était tombée sur un dossier contentant les actes de naissance et de décès de celle qui aurait du être sa jumelle. Bien qu'elle en veuille a ses parents de lui avoir caché la chose, elle essaie de ne pas trop le faire paraitre. En même temps, cela expliquait un peu le manque qu'elle avait dont elle ingorait la provenance. Malgré tout, les deux premières années universitaires de la jeune fille passèrent beaucoup trop vite d'après elle - sans même s'en rende compte, elle était devenue une adulte.

C'est là que tout s'enclencha...

« Je commence maintenant ma dernière année d'université à Yale - j'ai fait la rencontre de plusieurs personnes intéressantes, certains sont mes amis, certains ne le sont pas, et j'ai toutes mes armes en place. Ce chapitre de ma vie est encore en cours d'écriture, puisque mon avenir est encore incertain. Peut-être que d'ici quelques année il me sera plus facile d'écrire ces lignes, mais d'ici là, j'ai bien l'intention de profiter du peu de jeunesse qu'il me reste, d'obtenir mon diplôme et de terminer mon prochain roman. »

Bienvenue a toi et je dirais:
Mary-Kate Olsen (lllllllllllllllllllll) (a)

Très bon dossier, je le valide bien evidamment !
Bon Jeu =D