Jane arrive enfin . [ K E I T H ]

5h30 .
C'était le premier jour de Jane, elle décida de se lever tôt (pour une fois) et de ne pas arriver en retard. Elle venait de se réveiller dans un hôtel, dans la ville près de Yale car elle était arrivée tard la veille, en provenance de New York. Jane était stressé, impatiente mais surtout fatiguée (ça commence bien) ! Elle n'avait rien a ce mettre (enfin ...c'était son point de vue) une demie heure plus tard, elle avait enfin trouvée quelque chose à ce mettre. Un jean genre slim, un petit top gris, un cardigan et des bottes camel. Simplissime et sublime, quoi demander de plus ? Elle alla donc ce doucher. Jane, qui avait mis tellement de temps pour se préparer, avait juste le temps d'emmener un croissant pour manger pendant le trajet. Le taxi était lent, elle décida donc de sortir et de continuer à pied (ou d'en prendre un autre). Le soleil était déjà au rendez-vous et Jane mourrait déjà de chaud ! Après avoir marché quelques minutes, Jane renonça et appela un autre taxi. Il faut bien l'avouer, marcher et courir ne sont pas ses points forts (sauf peut-être pour le shopping). Le conducteur semblait conduire assez rapidement (en même temps après le précédent, il n'y avait pas pire). Manque de chance pour Jane, elle tomba dans les embouteillages ! Elle n'avait vraiment pas la force de continuer à pieds, elle resta donc dans le taxi, bien traquillement, à stressée comme une malade !

7h30.
Après une demie heure d'embouteillage, Jane était enfin arrivée à Yale. Le halle paraissait immense, comme ce qu'elle avait imaginée. La façade était immense mais ce qui plaisait le plus à Jane c'était la grandeur de cette université. Son plus grand rêve se réalisé, elle n'arrivait pas à y croire ! Seul problème ? Elle ne connaissait personne et ne savait pas où aller ! Tout les étudiants avaient l'air de déjà se connaître, ils étaient tous très classe et bien sûr, tous la regardait comme une extraterrestre ce que Jane détestait par dessus tout. Ses cours allés commencer dans un peu plus d'une demie heure et elle ne savait toujours pas où aller ... Elle décida donc, malgrès sa timidité presque maladive, d'aller demander à un éléve. La première fois, elle se fesa "rejetter", la deuxième, elle était totalement ignorée. Mais bon, elle décida de tenter une dernière fois. Elle alla donc vers un éléve et lui tappa légérement l'épaule et lui demanda :

- Salut, je suis désolée, je viens d'arriver. Pourrais-tu m'aider ?

Qui sait, la troisième allait peut-être être la bonne ... ou le dicton "Jamais deux sans trois" allait encore faire des siennes ?

Nous sommes lundi. On ne peut pas dire que c’est mon jour préférer, mais il fallait bien vivre avec se jour. Impossible d’y échapper. Mais pourquoi je n‘aimais pas ce jour ? Pour la simple raison, que je dois me lever à 06h00 pour partir aux cours. Ce n’est pas que je suis paresseux, mais c’est tellement difficile de se lever de son lit le matin, surtout quand il fait froid, on a encore plus envie de rester sous les couettes, bien au chaud. Pas vrai ? Mais il était 06h00 mon réveil s’était enclencher, puis celui de deux autres colocataires de chambre s’étaient mit à retentirent dans toute la pièce. En tout cas, il est sur qu’on se réveille bien en étant dans cette pièce, avec trois réveils qui sonnent presque en même temps. Bref, je m’étais lever, le premier afin d’avoir la salle de bain le premier. Et oui le désavantage d’être avec d’autre personne. Sa ennuyait déjà les garçons, alors je n’oses même pas imaginer du côté des filles qui mettent plus de deux heures a s’habiller. Moi j’étais rapide, à peine être entrer dans la salle de bain je m’étais doucher, habiller, coiffer, et m’était brosser les dents. Je n’avais pas besoin de prendre une heure pour faire ça, moi au moins je pensais, mais surtout respectait la vie quotidienne de mes colocataires qui se lève en même temps que moi. Il était 06h30, j’avais préparer mes affaires pour assister aux cours. Sortit de la chambre je m’étais diriger vers l’université, à 07h00 le hall est désert mais en même pas une demi-heure il vient presque remplis. Je parlais avec quelque garçon de ma classe avant de finir par commencer à marcher un peu. Il y a des moments ou j’adore la solitude, de toute façon, après la mort de mon père je m’étais renfermer sur moi-même et je ne parlais que à quelque personne. Eh sa pendant plusieurs années. Et cet ainsi que naquit ma timidité que je n’avais pas eut avant. C’est sans doute car je me suis couper un peu du monde, du coup, je ne fréquentais pas grand monde et j’ai finis par en être mal à l’aise. Bref, je marchais lentement, et je sentis ensuite qu’on tapotait légèrement sur mon épaule S’il y a bien une chose que je déteste c’est ça, je déteste qu’on m’appelle de cette manière trouvant ça énervant. Enfin je m’étais retourner afin de voir qui sa pouvait bien être. Je la regardais, une inconnue, je ne l’avais jamais vue. Des filles comme elle, sa se remarque. Car faut dire ce qui est, elle était pas moche. La jeune femme s’était mise à me parler une fois que je m’étais retourner. Elle me disait qu’elle venait d’arriver, je le savais, ça se voit quand quelque un est nouveau il à l’air compétemment paumé. J’ai passer par la case du paumé de service en arrivant dans cette université, alors je ne vois pas pourquoi je refuserais de l’aider. Je lui afficha un petit sourire avant de lui répondre :

- Salut, oui bien sûr.

Avais-je répondu. Ensuite je tendis ma main vers celle-ci, afin de faire directement les présentations. Plutôt rapide, mais se sera chose fait ainsi. De plus il ne restait plus qu’une petite vingtaine de minutes avant qu’ils aillent en cours. Du moins avant que moi je rende aux cours, je ne connaît pas l’horaire de la jeune femme.

- Keith Winslow.

Jane fut étonner de voir enfin une personne sympa à Yale ! Le jeune homme était grand et pas repoussant comme dirait Jane ! Elle lui répondit donc à son tour :

- Jane Peterson, enchantée ! Je suis vraiment désolé d'intervenir de cette manière là mais sais-tu où est la salle pour les cours de médecine ? Tu es à Yale depuis longtemps ?

Elle lui tendit sa main à son tour. Il était entouré de garçons qui la regardaient ... bizarrement ! Jane lui demanda donc la salle de médecine, elle espérait qu'il sâche où c'était et pourquoi pas qu'il en fasse parti ! C'était une des prèmières fois que Jane osée vraiment aller vers quelqu'un surtout quand celui-ci était avec ses potes. Mais là elle n'avait vraiment plus d'idées ! Jane se disait quand même qu'elle avait bien "choisi" et qu'elle aurait put tomber sur pire (non non, elle n'a pas d'idées dernière la tête, je vous rassure !). Tout d'un coups elle senti son portable vibrer, elle devait répondre !

-Allô ? Excuse-moi dit-elle a Keith en s'éloignant de quelques centimètres.

C'était Angela, sa meilleure amie qui est elle aussi à Yale, Jane avait tellement hâte de la revoir ! Bref, Jane dût dire à son amie qu'elle devait raccrocher.

- Je suis désolée, au faite tu ne connais pas Angela ?

Jane ne savait même pas pourquoi elle posait cette question mais elle était à séche de question, comme la plupart du temps. Elle attenda donc les réponses du jeune homme qui paraissait lui aussi assez réservé mais en même temps confiant ... Elle n'arrivait vraiment pas à le cerné ! Elle espérait au moins qu'il pourait lui expliquer des trucs sur l'université, lui montrer les cours de médecine ou au moins des éléves qui sont dans cette section; il avait l'air assez aimé apparement, vu le nombre de personne qui l'entourait !

Wow, je remarquais que cette jeune femme était bravade Du moins c’est-ce que je pense. Car elle parlait vite, mais me posait non seulement plusieurs questions à la fois. Bon j’avais eut le temps de suivre ces questions. J’ afficha un nouveau petit sourire avant de lui répondre :

De même. Ah tu étudies la médecine C’est cool, je l’étudie aussi, et je suis ici depuis un petit bout de temps maintenant.

Répondis-je. Eh encore une nouvelle qui vient étudier la médecine. J’appréciais énormément la médecine, et je veux vraiment devenir un chirurgien capable de sauver des vies pas comme les médecins incompétents qui ont laisser mourir mon père ! Bon, ils ne sont pas incompétents, mais mon père m’avait tellement manquer durant toute ses années. Et encore aujourd’hui, j’aurai aimer pouvoir partager encore beaucoup de chose avec lui. Aller voir un dernier match de base-ball mais surtout j’aurai aimer lui dire au revoir. Je sortis de ses mauvais pensées quand la jeune femme s’excusa pour s’éclipser quelques secondes pour ensuite revenir s’excusant une nouvelle fois. Je n’étais pas seulement aimer, mais détester aussi. Mais cela m’est égal, car franchement je m’en fous. Je ne tiens pas à être le plus beau et avoir toute les filles dans mon lit. Je m’en fous moi de tout ça, sans doute car je suis bien plus mure que les autres. Qui eux sont encore un peu trop gamins dans leurs têtes. Bon cela ne m’empêchait pas pourtant de faire la fête, je ne suis tout de même pas un coincé je sais m’amuser. Bref, je regardais la jeune femme avant de lui répondre :

- Des Angela, il y en a sûrement une centaine dans cette université, je ne sais donc pas de laquelle tu me parles. Mais de toute façon, je ne connais aucune Angela.

A vrai dire moi aussi je ne savais que dire. Car je ne la connais pas, je ne sais pas comment elle est, donc je pourrais lui poser des questions que je n’aurai peut être pas du demander. Donc je préférais me taire. Mais bon je n’allais tout de même pas rester là a ne rien dire à attendre que l’heure passe. Je commença à marcher enfin de faire un peu visité l’université à cette jeune femme. Je dis a mes potes que je reviendrais plus tard et je finis par me retourner vers Jane et de lui dire :

Bon eh bien, je vais te faire un peu visité l’établissement. Une petite partie, car il est tellement grand que je n’aurai pas le temps de te faire visité tout. Bref, sinon qu’est-ce qui te fascine dans la médecine ?

Jane était assez contente qu'il lui pose cette question car elle avait toujours sût quoi dire, depuis son plus jeune âge.

- Le fait de sauver des vies, de voir cet éclat de bonheur chez les gens quand on leur dit que leur proches vont bien. Bien sûr c'est aussi pour étudier, faire développer les choses mais surtout pour les personnes de ce monde. C'est vrai que quand on entendu cette réponse, ça fait très film, spot publicitaire mais c'est vraiment ce qui m'a inscité à prendre cet section. De voir tout ces malades, bien sûr les gens de ma famille mais aussi dans le monde entier, qui n'ont pas la possibilité d'avoir de soins, ou de mourir à cause de médecins certaines fois incompétants me rend malade.

Jane trouvait vraiment ça sympa qu'il lui propose de la faire visiter car elle ne s'y retrouvait plus ! Si il est là depuis assez longtemps, il a donc dû traverser les mêmes épreuves de paumé, comme j'imagine tout les élèves ici présent.

- Au faite, c'est vraiment gentil de m'aider. J'imagine que tu n'a vraiment pas que ça à faire et je comprendrai si tu dois aller faire autre chose !

Dit Jane en lui adressant un sourire. Elle était vraiment reconnaissante de Keith, et elle espérait vraiment qu'elle ferait la même chose avec les élèves des années à venir et qu'elle aurait autant de patience ! Keith avait était gentil, il avait l'air assez réservé mais toujours dévoué aux autres, enfin c'est ce que Jane voyait ressortir à travers lui. Elle était vraiment contente qu'il fasse lui aussi médecine, ils auraient peut-être l'occasion de faire plus connaissance. Elle était vraiment toute excitée de commencer son tout premier cours à Yale, c'était un moment historique pour elle, son premier cours ici ! Jane l'avait tellement révée, Yale n'est pas qu'une université pour Jane mais vraiment rêve depuis sa plus tendre enfance ! C'était assez diférent mais en même temps très semblables à ce qu'elle avait imaginé, un hall immense mais des centaines d'étudiants, sauf qu'elle n'avait pas prévu le côté aussi "accueillant" des 2 premiers élèves qu'elle avait dérangée.

« De voir tout ces malades, bien sûr les gens de ma famille
mais aussi dans le monde entier, qui n'ont pas la possibilité
d'avoir de soins, ou de mourir à cause de médecins certaines
fois incompétents me rend malade. »

Au moins elle était du même avis que moi. Cette phrase me fit réfléchir plus d’avantage sur mon passé. Je n’accepterais jamais le fait que ce médecin n’ait rien pu faire pour son père. M*rde quoi, il n’avait qu’un poumon perforer. De milliers de gens souffrent de bien pire que ça, et la moitié ne meurt pas. Alors pourquoi mon père ? Voilà la question à laquelle je n’aurai jamais de réponse. Eh à laquelle personne ne pourra répondre. Pourquoi avait-il fallu qu’un abrutit tire son père ? Pour une histoire qui date de dix ans. D’ailleurs aujourd’hui, je suis bien content de le savoir en prison. Où il y pourrira comme il m’a pourrit la vie ! Bref, je préfères rester réserver, et de cache tout ça. Aillant encore trop de mal supporter le fait qu’il ne soit plus là. Je gardes ça pour moi, ce qui est loin d’être une bonne chose, car sa me ronge de l’intérieur. Et je suis sur qu’un jour je craquerais, c’est petit marrant à lire. Mais c’est bien la vérité. Tout être humain à le droit de rêver, de pleurer. Et c’est le cas pour moi. En général je ne raconte pas grand-chose sur ma vie. Du moins rien sur le passer, j’évites de parler de ma mère, car ils se demanderont ‘Eh ton père il est où?’ donc pas de sujet conversation qui relient la famille, les parents. C’est d’ailleurs pour ça que je n’abordes jamais cette conversation, et quand une autre personne en face veut l’aborder, je dévie complètement ce sujet pour faire place à un nouveau. Que répondre à ça, surtout que même sans le savoir, elle avait été du même avis que moi. Je lui adressa donc un petit sourire avant de lui répliquer :

C’est cool… Et tu veux savoir une chose ? Je suis du même avis que toi, quand tu dis sa te rend malade de voir des médecins incompétents.

Je ne dis rien de spéciale, j’étais simplement du même avis qu’elle, cela ne révélait rien à ma vie. Je marchais a ses côtés, et nous arrivâmes près des laboratoires. Elle semblait jeune, donc elle était peut être qu’a sa première année dans une université. Donc, elle n’avait pas les même cours que moi, qui plus on avance, plus ça devenait dur.

Nan, mais t’inquiète pas. Je n’ai rien a faire, tu pouvais le constater, je ne faisais que parler avec quelques amis. Bref, j’imagines que tu en es seulement à ta première année dans une université ? Si je dis ça, c’est parce que tu sembles jeune, enfin, je ne serais pas aux même cours que toi. Je suis à ma cinquième années.

» GOD SAVE JANE*
» Jane's links* | DO YOU WANNA BE MY FRIEND ?